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Dimanche 28 avril 2002, Eglise de Thoiry
Samedi 4 mai 2002, Temple de St-Jean
Dimanche 5 mais 2002, Centre Paroissial Œcuménique de Meyrin

Au programme

Symphonie en Sol Majeur

Christoff Willibald GLUCK

Allegro
Andante
Allegro

Symphonie en Fa Majeur

Christoff Willibald GLUCK

Allegro
Andante affettuoso
Tempo di Menuetto

Adagio et Fugue K.V. 546

Wolgang Amadeus MOZART

Adagio
Fugue

Suite joyeuse en Do Majeur

Georg Philipp TELEMANN

Ouverture
Loure
Rigaudon
Menuet I - Menuet II
Entrée
Pastrourelle

Elegie

Keith JARRETT

pour violon et orchestre à cordes

Violon Martine de BOISJOLLY

Deux valses, op 54

Antonin Dvorak

Moderato
Allegro vivace

Direction Igor DIAKOFF

A propos du programme

Arcus-Caeli, Orchestre de Chambre de Meyrin, créé en 1987 reçoit son nom pour de multiples raisons ; en voici une : L’Arc-en-ciel suppose plusieurs couleurs, la musique aussi. Le programme de ce soir vous fera voyager dans diverses époques, vous permettra de redécouvrir et de comparer ainsi les couleurs spécifiques de quelques compositeurs.

Nous avons choisi parmi leurs œuvres uniquement celles écrites pour orchestre à cordes et la difficulté d’un tel programme consiste à accrocher l’écoute sans oublier de divertir les auditeurs.

Le rôle du chef d’orchestre revêt une très grande importance, car il doit insuffler dans chaque pièce si différentes d’époques, mais souvent très proches par l’écriture, une présence et un dynamisme constant.

Pour ouvrir le concert d’une manière inhabituelle avec une entrée en matière de caractère, nous vous proposons de Christoff Willibald Gluck (1714 – 1787), deux charmantes symphonies, toutes deux de tonalité majeure.

Pour continuer, une pièce pleine d’émotion avec l’Adagio et Fugue KV 546 de Wolfgang Amadeus Mozart (1756 – 1791), œuvre profonde qui inspire le calme et la sérénité pour l’adagio et une certaine libération pour la fugue. Cette dernière a été transcrite de la fugue pour deux pianos KV 426 par Mozart, on y découvre alors une très grande maturité.

C’est avec « joie » que nous ouvrons la deuxième partie de ce concert en exécutant une suite de Georg Philipp Telemann (1681-1767), le plus ancien compositeur de notre choix avec une œuvre rarement interprétée chez nous, on y ressent un côté rassurant par son écriture simple, logique et classique.

Du célèbre pianiste américain Keith Jarrett, né en Pennsylvanie en 1945, laissons-nous surprendre et emporter comme dans un rêve par cette superbe Elégie pour cordes et violon solo.

De retour sur terre et pour clore notre concert spécial cordes, nous écoutons toutes les joies populaires ainsi que le romantisme de deux valses d’Antonin Dvorak de l’opus 54.